Nos membres publient aussi et nous avons le plaisir de partager ci-dessous leur travail.
Celles et ceux qui souhaitent nous envoyer un exemplaire de leur ouvrage, peuvent l’adresser au siège de la SVHA, Archives cantonales vaudoises
Rue de la Mouline 32, 1022 Chavannes-près-Renens et nous faire parvenir par mail un flyer à info@svha-vd.ch.
Pour paraître ci-dessous, l’ouvrage doit répondre aux conditions suivantes: il doit avoir un lien avec l’histoire vaudoise et son auteur doit être membre de la SVHA.
La colombe, c’est l’héroïne, la poétesse Marie de France. L’épervier, c’est son frère jumeau, le chevalier Enguerrand de Cambremont. Marie de France a vraiment existé. Elle a vécu au XIIe siècle, probablement dans l’entourage d’Aliénor d’Aquitaine, entre l’Angleterre et les États continentaux d’Aliénor et de son second mari, le roi d’Angleterre Henri Plantagenêt. Marie écrivait, et ses vers, lus dans tous les milieux lettrés d’Europe, ont eu un succès éclatant et durable. C’est tout ce que nous savons d’elle. On pouvait donc en faire un personnage de roman et lui inventer une existence en écho à plusieurs thèmes traités dans ses poèmes : l’enfant abandonnée, la femme gardée prisonnière par un homme cruel, l’amour interdit pour un frère-amant.
Institutions-phares de la vie lausannoise: les deux Maisons du Peuple de Lausanne (d’abord à la rue de la Caroline, puis à Chauderon) ont joué un rôle de pivot culturel et politique dans la vie lausannoise de la première moitié du XXe siècle. Dans un style vivant, l’auteur dresse un portrait très détaillé de ces lieux emblématiques dans un ouvrage accessible et riche de nombreuses sources inédites.
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Inspiré par une foi que certains qualifièrent de fanatique, Davel caresse un projet grandiose: libérer le Pays de Vaud du joug bernois. Son opération est pourtant vouée à l’échec. Il la veut non violente, il espère convaincre ses compatriotes, il ne doute pas qu’il sera suivi. Lourde erreur: d’abord salué dans ses ambitions, il fut trahi et abandonné au courroux de l’Ours bernois, qui ne pouvait tolérer la rébellion. Davel, torturé, décapité à Vidy, a toutefois pris rendez-vous avec l’histoire. Enfant de son temps, militaire professionnel au service des Pays-Bas et notaire en un début de XVIIIe siècle qui n’est pas encore influencé par le mouvement des Lumières, Davel n’a rien d’un révolutionnaire. Les acteurs de 1798 ne jugeront d’ailleurs pas utile de se référer à lui et à sa folle entreprise. Sa bonne fortune viendra progressivement, grâce à Frédéric-César de La Harpe et surtout grâce à Juste Olivier. Sa carrière de patriote est lancée, sa légende est née. Elle inspirera tous les courants politiques et nourrira l’imagination de maints artistes. Le Major Davel est devenu un modèle, il appartient désormais à tout le monde
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À l’occasion du 50e anniversaire de la disparition de Géa Augsbourg, éminent imagier du Pays de Vaud, le château d’Aigle a l’honneur d’exposer une belle collection de ses oeuvres, patiemment rassemblée au fil des ans par le plasticien Claude Augsburger. Géa Augsbourg, ami et collaborateur de nombreuses person- nalités telles que Charles-Albert Cingria, Paul Budry, Jacques Audiberti, Marc Chagall et Jean Villard Gilles, a marqué le monde de l’art par son œuvre foisonnante et multiple. Dessina- teur, peintre, céramiste et journaliste, il est devenu une figure in- contournable et inclassable grâce à la diversité de ses créations. L’exposition met également en lumière son lien profond avec la vigne, notamment à travers les étiquettes de vin qu’il a conçues, ainsi que la présentation du portefeuille «La terre vaudoise et ses vignes», accompagné d’un texte de Charles-François Landry. En contrepoint, l’artiste collectionneur Augsburger propose une série de de ses propres peintures. Cette exposition dévoile un ensemble riche et varié, composé de dessins, peintures, et nombreux documents personnels.
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Cet ouvrage s’intéresse à l’œuvre picturale d’Alfred Béguin retrouvée chez des particuliers. Grâce à l’intérêt, la collaboration et la mise à disposition par les propriétaires, ce peintre sort de l’ombre avec des œuvres jamais présentées dans une publication. En plus des peintures murales qui ornent encore des façades de maison à Saint-Légier-La Chiésaz depuis le XIXe siècle, l’ouvrage fait découvrir les dessins et huiles que l’élève de Charles Gleyre a réalisés au cours de sa longue vie. Alfred Béguin n’a jamais monté d’exposition de son vivant. Il n’avait pas besoin de son art pour subvenir à ses besoins. À la sortie du livre, une exposition d’envergure se tiendra au Musée Historique de Vevey. L’ouvrage, richement illustré, invite à un voyage auprès d’un homme discret, que l’on nommerait aujourd’hui de « tagueur » et de caricaturiste de talent.
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Discours et mutations d’un mouvement international (1961-2001). mouvement international ayant répondu au mystérieux nom de « Réarmement moral » jusqu’en 2001. Des élites de tous bords y convergèrent en masse dès 1946 pour assister à ses conférences annuelles. Qui formait la nébuleuse de ce cercle porté par un réseau de bénévoles consacrant leur vie à « changer le monde » ? Comment qualifier ce qui ne fut ni un nouveau mouvement religieux, ni une organisation politique ? Quelles furent ses activités et comment expliquer sa pérennisation ? Brassant des millions durant un âge d’or encore mythifié, le RAM est resté dans les mémoires pour son anticommunisme. À partir d’archives inédites croisées avec des entretiens de sympathisant·e·s, cet ouvrage analyse les discours, les pratiques et les expressions de la pensée du mouvement, entre la mort de son fondateur Frank Buchman (1961) et sa nouvelle appellation « Initiatives of Change » (2001) sous l’égide de l’ex-directeur du CICR Cornelio Sommaruga.
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87 entrées concernant aussi bien le passé que le présent de Lavaux: une exploration méthodique des connaissances dans divers domaines comme l’art, l’architecture, les évolutions sociétales, de même que l’évolution des métiers de la vigne. « Un dictionnaire aussi passionnant que passionné. C’est un livre à la fois enlevé et fourmillant d’informations, un véritable « page-turner » comme disent les Anglo-Saxons: quand on a lu une entrée, on a envie d’en savoir plus sur Lavaux et de lire la suivante… et on la lit! », un lecteur.
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Les femmes ont longtemps occupé une place restreinte dans les institutions, les musées et les expositions, ainsi que dans les commandes publiques. Et par conséquent, dans les histoires de l’art en Suisse, et notamment en Suisse romande. Cet ouvrage accompagne une exposition de la Fondation Ateliers d’Artiste (FAA) qui conserve des dizaines de milliers d’œuvres en tous genres et dans toutes les techniques. Or, il se trouve que plus de 30% des artistes formant les fonds de la FAA sont des femmes. Parmi elles, Violette Diserens, Christiane Cornuz, Thérèse Martin, Martine Clerc, Maya Boisgallays, Nanette Genoud, Marie-Louise Carrard, Véronik Frossard Derose, Françoise Rey, Sylvia Krenz, Denise Voïta ou Janebé… Des femmes et des œuvres à redécouvrir sous la plume de Léa Béguin, Édith Carey, Françoise Jaunin et Philippe Kaenel.
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Surtout connu comme l’un des maîtres de la gravure sur bois en suisse au XXe siècle, Pierre Aubert (1910-1987) fut également peintre. Plusieurs centaines d’huiles, paysages de la Vallée de Joux, vues de Paris et de la Provence, natures mortes, portraits et scènes de genre constituent son œuvre. On y retrouve les traits de son œuvre gravé, qui a fait l’objet d’un catalogue raisonné en 2007: ainsi les paysages du Jura ou encore le thème de l’arbre comme figure identitaire et d’identification personnelle. La Fondation Pierre Aubert a entrepris depuis quelques années de faire connaître ce pan méconnu de son travail. Ces peintures sont maintenant à redécouvrir à travers les points de vue croisés de Raphaël Aubert, Chloé Charmillot, Sébastien Dizerens, Magali Junet et Philippe Kaenel.
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Pierre Aguet a l’engagement politique chevillé au corps. Après une longue carrière au sein des autorités communales, cantonales et nationales, ainsi que dans de nombreuses institutions sociales, associatives, religieuses, l’âge de la retraite venu, il n’a rien perdu de sa faculté d’indignation et il ne se gêne pas de la faire connaître. Avec ce bouquet d’anecdotes, il livre en vrac ses souvenirs, ses initiatives avec leurs réussites et leurs échecs, ses coups de gueule et ses moments d’enthousiasme. Il égratigne quelques personnages, mais surtout il rend hommage à toute l’humanité qui l’a entouré tout au long de ces septante ans de carrière.
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Un trop grand silence entoure la vie et l’action politique de Napoléon III, qui a eu l’un des plus longs règnes de l’histoire de France. Et le mystère s’épaissit encore si l’on s’intéresse à sa jeunesse, vécue en grande partie en Suisse. Né à Paris, ce neveu de Napoléon Ier se réfugiera à la suite de Waterloo avec sa mère, la reine Hortense de Beauharnais, sur les bords du lac de Constance, où celle-ci achètera en 1824 le château d’Arenenberg dans le canton de Thurgovie. C’est là qu’il finira sa scolarité en allemand, obtiendra la nationalité suisse avant de gagner ses galons de capitaine d’artillerie de l’armée bernoise. Consacré au suffrage universel président de la République en 1848, puis empereur des Français en 1852, jamais il ne reniera ses amitiés suisses.
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Ecrire l’histoire du Pays puis du Canton de Vaud à travers le prisme des seuls documents originaux présents aux Archives cantonales vaudoises, parallèlement à celle de l’institution d’archives née en 1798, tel est objectif du livre. Le premier original remonte à l’an 970. La précocité de l’écrit participe de la gestion de l’aire territoriale changeante et consolidée au fil des siècles, des besoins grandissants des différentes administrations qui se sont succédé depuis le Xe siècle. Trésors des archives cantonales vaudoises ne se limite pas à un catalogue de prestigieux documents. Il recherche, dans la diversité des thématiques et des rubriques renvoyant aux différentes périodes historiques, à souligner la richesse et la densité documentaires des Archives cantonales vaudoises.
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Depuis le début du 19e siècle, les sociétés d’étudiants ont marqué la Suisse de leur empreinte. Au-delà de leur fonction de sociabilité et de leurs rituels, pour certains hérités du Moyen Âge, elles ont joué un rôle de premier plan dans la construction de la Confédération moderne et dans la formation politique de ses dirigeants. Ce livre relate leur mission de creusets idéologiques à une époque où les partis n’étaient pas encore organisés en entités distinctes ainsi que les crises qui ont jalonné leur histoire: l’épreuve des idéologies entre 1914 et 1945, celle de la libération de Mai 68 ou les mutations plus récentes du champ universitaire.
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On dénombre plusieurs cercles à Lausanne dans la première moitié du XIXe siècle. Peu sont connus et très peu ont survécus. En 1799, quelques amis lausannois fondent le Cercle du Commerce; après un demi-siècle d’existence, il est absorbé en 1850 par le Cercle littéraire, né vingt après lui en 1819. Les archives du Cercle du Commerce, conservées parmi celles du Cercle littéraire et inventoriées récemment, ont permis d’écrire l’histoire de ce lieu de sociabilité, fidèle à la Place Saint-François, où se sont retrouvés une centaine de commerçants, de politiciens et de hauts fonctionnaires vaudois pour partager quelques loisirs, échanger leurs opinions, discuter les nouvelles dans une période riche en rebondissements.
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Situé sur les hauts de La Tour-de-Peilz, dans le canton de Vaud, le domaine viticole de La Doges est un écrin de verdure offrant une des plus belles vues sur le lac Léman et les Alpes. Attestée depuis le XVIIe siècle, la maison de maître a été agrandie et réaménagée au gré de ses propriétaires successifs. En 1997, André Coigny-de Palézieux lègue le domaine à la section vaudoise de Patrimoine suisse avec l’ensemble de son mobilier, de ses oeuvres d’art et de ses archives. Ce précieux héritage permet de documenter le quotidien des Palézieux dit Falconnet qui y ont vécu pendant près de deux siècles. Célébrant le bicentenaire de l’acquisition de La Doges par la famille de Palézieux en 1821, ce livre collectif met en valeur les richesses patrimoniales du domaine. De manière plus générale, il apporte une contribution importante sur le développement des maisons de campagne dans la région veveysanne ainsi que sur la vie culturelle et sociale des élites vaudoises.
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Cette œuvre collective trouve son origine dans les réflexions, les recherches et les cours d’histoire du droit donnés dans les Universités de Neuchâtel (prof. Jean-Philippe Dunand) et de Genève (prof. Numa Graa). Elle vise à présenter de manière claire et concise l’histoire du droit privé en Suisse, en particulier du Code civil, en la plaçant dans son contexte européen. Destiné en premier lieu aux étudiantes et aux étudiants en droit, cet ouvrage pourra intéresser toute personne désireuse d’approfondir ses connaissances sur les origines de la codification civile en Suisse.
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À l’occasion de son 175e anniversaire la section vaudoise de la société d’étudiants Helvétia publie un ouvrage commémoratif qui présente sa riche histoire sous quatre angles différents. Abandonnant un récit chronologique ce volume porte un regard original sur divers aspects de ses 175 années d’existence. Loin de l’autocélébration propre aux ouvrages jubilaires, cet ouvrage mêle les époques, les thèmes, les méthodes et les perspectives dans des travaux inédits et convaincants. Ainsi, ce livre offre une réflexion sur la légitimité des ouvrages commémoratifs et l’historiographie helvétienne, puis une étude sur la vie de la société à la Belle Époque. Un chapitre présente l’histoire et la symbolique des drapeaux de l’Helvétia.
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Le récit des aventures de la famille De la Rottaz se poursuit dans le deuxième volume de cette petite Histoire de Veytaux. Dans l’Acte 1, nous retrouvons notre héros de la Révolution vaudoise, Jean Delarottaz, député au Grand Conseil et syndic de Veytaux, en 1803. Nous suivons la carrière de son fils Jean Jaques, membre du Grand Conseil, officier, voyer du district de Vevey puis membre de laCommission des Ponts et Chaussée. Dans l’Acte 2, le lecteur s’attachera à son fils Jean Jaques, un personnage mal aimé mais incontournable, d’une intelligence acérée mais capable d’aveuglements incompréhensibles ; maladivement dévoué à sa famille et à ses proches mais incapable de se faire aimer…
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1848, une année charnière pour l’histoire de la Suisse. Cette année-là, elle se dote d’une Constitution dont les principes nous gouvernement encore aujourd’hui. Mais, en 1848, la Confédération aurait pu aussi ne plus exister. En novembre 1847, elle est déchirée par une guerre fratricide qui oppose les radicaux, au pouvoir dans les cantons les plus grands du pays, aux conservateurs catholiques. mécanisme subtil est trouvé, qui garantira, sur le long terme, la paix: un Parlement fédéral composé d’un Conseil national et d’un Conseil des États.
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Des chapons « à l’eau bénite »… Tel était l’un des mets dont se nourrissaient les moines à la fin du Moyen Age d’après le Quernet de Messieurs du couvent de Payerne. Rédigé en 1469, ce document inédit lève le voile sur un aspect méconnu de la vie quotidienne au sein du monastère clunisien : l’alimentation des religieux. Distribuées en fonction du calendrier liturgique qui alternait jours gras et jours maigres, les pitances des moines composaient un régime riche et varié, à l’instar de la friture de tripes distribuée à Noël ou du potage aux oeufs et au safran servi le Jeudi saint.
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Les fondements constitutionnels de la Suisse moderne ont été posés en 1848. Par la suite, ils ont été remaniés à plusieurs reprises, notamment à l’occasion de la révision totale de 1874, puis à travers une foule de révisions partielles. Pour comprendre l’importance de la Constitution de 1848, il convient de la placer dans la longue durée de l’histoire institutionnelle suisse. La présente synthèse expose ainsi ce que furent les institutions de l’ancienne Confédération, puis les causes directes de la Constitution de 1848, les innovations que celle-ci apporta et la capacité d’adaptation dont elle témoigna.
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Juste Olivier (1807-1876) est considéré comme une figure majeure de la littérature suisse du XIXe siècle et le représentant le plus éminent du romantisme en terres romandes. Avec « Le Canton de Vaud, sa vie et son histoire », il rassemble l’ensemble des connaissances sur son canton. Il leur offrira aussi une figure tutélaire en rédigeant la première grande biographie du major Davel. Pour ce faire, il se basera sur des sources archivistiques inédites. Ce petit essai présente l’œuvre poétique et sa spécificité, mais aussi les riches rencontres qui parsèmeront l’existence de Juste Olivier.
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Alors que Savigny avait fait partie de la grande commune de Lutry pendant des siècles, en 1820 les habitants des Monts demandent soudainement à se séparer de la ville et du vignoble. Ce livre retrace l’histoire de cette indépendance, dont le processus dura cinq ans. Quels ont été les mobiles des autonomistes? Quelle résistance Lutry leur a-t-elle opposée? Quelles ont été les péripéties de cette scission? Telles sont les principales questions auxquelles les archives communales et cantonales permettent de répondre souvent en détail.
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Pour son premier roman, Lise Favre nous livre le parcours d’une femme qui cherche, malgré les contraintes multiples qui pèsent sur elles, à se réaliser pleinement et à conquérir sa liberté. Entre 1900 et 1940, de la Suisse romande à Paris, en passant par la Russie tsariste, Constance, fille d’un pasteur vaudois, apprendra petit à petit à se libérer des préjugés de son époque et à vivre pleinement ses passions.
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Les activités sportives occupent une place importante dans nos vies quotidienne et sociale. Pourtant, ces pratiques n’ont souvent laissé qu’un patrimoine modeste, à vocation avant tout utilitaire, peu étudié. À travers cinq itinéraires, ce guide propose de partir à la découverte de lieux et installations lausannois, avec ses stades, salles de gymnastique et autres piscines, mais aussi de sites tels que le stand de tir à Vernand, le Chalet-à-Gobet, les parkours urbains ou encore le bowl de Vidy.
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La Suisse romande s’est faite par les familles qui la peuplent. Leur histoire, leurs aventures, leur développement et leurs réalisations constituent l’ADN de ce pays. De nombreuses familles sont issues de l’immigration, proche ou lointaine. Le destin des Rochat est à ce titre particulièrement parlant puisque, venant de Franche-Comté voisine, la famille est intimement liée au développement du canton de Vaud auquel elle a participé du XVe siècle à nos jours.
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Cet ouvrage met en exergue la richesse du patrimoine bâti de Montcherand. La naissance du village est conditionnée à ses débuts par l’édification de l’église, vraisemblablement au cours du 11e siècle, ses célèbres peintures murales datant de la fin du 11e ou du début du 12e siècle. L’édification du château et d’une maison de maître complètent par la suite le lieu de culte. C’est à proximité de celui-ci que se développe le village primitif caractérisé aujourd’hui encore par des bâtiments en ordre contigu.
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Journaliste, éditeur et écrivain, Bertil Galland a inlassablement arpenté le monde comme chaque recoin du canton de Vaud et de la Suisse. Homme de savoirs, de passions, de rencontres et de fidélités, il a cumulé plusieurs vies que ce portrait biographique cherche à rassembler pour rendre compte d’un parcours hors du commun et protéiforme.
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Gilbert COUTAZ a choisi une approche interdisciplinaire et par étapes de l’héroïcisation de Davel depuis le 24 avril 1723. Davel est devenu le héros exclusif du canton de Vaud, élevé au rang du panthéon suisse, célébré comme le précurseur de la liberté, la figure tutélaire et identitaire, un saint. Il n’est ni un mythe ni un monolithe. Il récapitule toute l’histoire vaudoise depuis sa rébellion.
Flyer et bon de commande spécial SVHA
Cette publication présente des artistes et des œuvres pour la plupart trop peu connus de toute la Suisse romande. C’est une histoire inédite de l’art régional et suisse à laquelle vous invite ce volume: première publication de la Fondation Ateliers d’Artiste (FAA) qui travaille à leur préservation et leur valorisation depuis 2004.
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On doit à Edmond Jaloux (1878-1949), tombé amoureux de Lausanne en 1918, élu Académicien en 1936, domicilié à Lutry dès 1937, de multiples initiatives contribuant à faire connaître des écrivains de Suisse romande en France et à acclimater en terres francophones des littératures étrangères modernes et contemporaines. Membre du jury du Prix de la Guilde du Livre lausannoise, ce critique – l’un des plus éminents des années 1920-40 – avait à cœur de «comprendre avant de juger».
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La période allant de 1830 à 1848 est connue, dans l’histoire suisse, sous le nom de «Régénération». Soldant le retour en arrière de la Restauration, elle voit le triomphe du mouvement libéral, qui entreprend de nombreuses réformes institutionnelles et économiques, mais qui se heurte à des difficultés majeures face à la question religieuse ou à la question sociale émergente.
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Juriste de formation mais philosophe par vocation, Charles Secrétan (1815-1895) mérite d’être redécouvert: sa volonté de refonder l’idée de la liberté dans un cadre social et religieux le place parmi les théoriciens d’un libéralisme à forte connotation morale qui ne sera pas sans influence sur les premiers architectes du rôle social de l’État.
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Le passé pas à pas invite en 3 tomes à la balade originale et enrichissante. Au travers d’un chemin creux du Gros-de-Vaud, au sommet d’un col des Alpes ou encore dans une ruelle médiévale de la Cité, cette publication cherche à dénicher des monuments et sites qui en disent long sur l’histoire locale.
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L’approvisionnement des Suisses en sel français durant le Consulat et l’Empire a peu retenu l’attention de la recherche historique. C’est cette lacune qu’Etienne Hofmann, par le présent ouvrage tente en partie de combler grâce à une documentation inédite et encore inexploitée.
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Ce mensuel, édité par Justin Favrod, raconte de manière accessible les périodes passées des terres de Suisse romande, de la préhistoire au XXe siècle. Passé simple Rue du Château 34, CH-1510 Moudon +41 79 433 44 89.
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100 destins de Lausannoises hors du commun, inspirantes et marquantes. Chacune de ces femmes est une héroïne ! Illustré par Hélène Becquelin, il s’appuie sur des recherches historiques solides et s’adresse à un vaste public en proposant une réflexion autour de la place des femmes dans l’histoire, dans la société et au sein de l’espace public.
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Au fil des pages de cet ouvrage collectif, fruit d’un partenariat étroit entre le Musée cantonal d’archéologie et d’histoire et le Centre des sciences historiques de la culture, représenté par Philippe Kaenel (Section d’histoire de l’art) et François Vallotton (Section d’histoire), se dessine l’histoire du Musée cantonal, indissociable du contexte politique et intellectuel vaudois.
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Ce numéro de PatrimoineS se focalise sur les projets de renouvellement des expositions permanentes aboutis, en cours ou projetés dans le canton. Il dévoile le dynamisme des musées d’histoire du territoire dans leurs stratégies pour se réinventer face aux mutations importantes du monde muséal et aux attentes actuelles du public, et pour donner à voir une histoire vaudoise variée et vivante.
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Cet ouvrage renouvelle nos connaissances historiques sur les causes et les effets de la formation des Églises libres ou indépendantes de Genève, Vaud et Neuchâtel, en portant sur ce processus un regard interdisciplinaire.
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Ce livre raconte le parcours de vie d’un «homme ordinaire» aux multiples intérêts. Pierre Jeanneret, né à Lausanne en 1944, a été pendant trente ans professeur d’histoire et de français au Gymnase. Dans cette autobiographie, il relate sa jeunesse, ses études et son expérience d’enseignant. L’évocation de ses recherches et le récit de ses voyages constituent les deux dernières parties de l’ouvrage.
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Médecin, Philosophe, pédagogue, Ignaz Paul Vital Troxler (1780-1866) est un acteur majeur mais méconnu de la Suisse du XIXe siècle. Défenseur ardent de la liberté et de la démocratie, il s’engage contre les autorités réactionnaires de son canton, puis accompagne le mouvement libéral et radical en tant que penseur de l’État fédéral en devenir.
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Ce récit suit plusieurs générations de la famille Delarottaz, une famille autrefois importante dans la région de Montreux, mais éteinte depuis le début du XXe siècle… et aujourd’hui oubliée. 330 pages, Lausanne, Antipodes, 2020
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René Perdrix, préfet honoraire de Grandson et natif de Champagne se souvient de son village dans les années 50.
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Lieu de rassemblement pour la jeunesse de l’Eglise réformée vaudoise, l’histoire de Crêt-Bérard débute en 1948. Nicolas Gex propose un parcours original à travers l’histoire du lieu, des personnes et des activités liées à ce lieu.
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Marlyse Vernez, avec la collaboration de Lucienne Hubler, racontent en 248 pages les débuts de l’exploitation saline dans le Chablais vaudois entre 1554 et 1685.
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Professeur émérite de sociologie des religions à l’Université de Strasbourg, l’auteur reconstruit l’histoire d’un couvent d’un ordre mendiant méconnu pour comprendre la situation religieuse à la veille de la Réforme.
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Recueil, préfacé par Gilbert Coutaz: rassemble 60 articles de « 24 heures » de 2009 à 2020, racontant un épisode de l’histoire vaudoise, peu connu et insolite (1291-1960).
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Canton du Léman : Une école de gouvernement 1788-1803
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« Autant en apporte 100 ans ». Par cette plaquette historique, Frédéric Pahud met en lumière un des monuments de la vie associative vaudoise. Lire aussi dans la RHV 2020 l’article de Solène Froidevaux sur la place des femmes dans les abbayes vaudoises.
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L’année 1947 marque un tournant majeur pour l’histoire de la Suisse au 20e siècle. Le 6 juillet, le peuple suisse se prononce en faveur de l’introduction d’une assurance vieillesse et survivants (AVS). La révision des articles économiques de la Constitution fédérale, second objet de la votation du 6 juillet, est quant à elle adoptée avec un score plus disputé. En prenant comme point de départ la journée historique du 6 juillet 1947, cet ouvrage met en lumière un moment charnière dans la réorganisation du pays à l’échelle tant nationale qu’internationale.
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